mardi 21 février 2017

Le Blog prend son envol !

La Théorie de la Régression déploie ses ailes et prend son envol pour migrer sur WordPress. 
Une peau neuve disponible à cette adresse : 

https://latheoriedelaregression.wordpress.com


Merci Blogspot pour ces jolies années, mais il était temps d'aller voir ailleurs ce qui s'y passe. 

dimanche 25 décembre 2016

Je veux vivre de ce que je suis pas de ce que je fais



Fait avec les moyens du bord, cette petite animation est la résultante d’une énième conversation intérieure avec moi même. L’occasion de revenir sur une année à la fois riche et complexe, une année intense, une année de résilience, 
une année où je suis morte pour renaitre.

J’ai écris ce texte un soir d’éveil et bien qu’intime j’ai souhaité le partager, mais pas comme à mon habitude. Des images fixes n’avaient plus de sens dans ce contexte de perpétuelle mouvance ! Du coup je les ai faites s’animer, bouger à l’image du chemin que je me trace aujourd’hui. 

Je me sens un peu comme Bambi qui apprend à marcher, me construisant tant bien que mal avec mon lot de chutes et d’acquis, mais heureusement mes pas sur la glace sont de moins en moins branlants ! 

Dans deux jours je fêterai mon vingt-huitième anniversaire, dans un mois, la première année de ma nouvelle vie. Aujourd’hui j’ai quitté Paris pour vivre dans la montagne des Hautes Alpes, demain je repartirai sur la route à la recherche de l’Arbre Rouge. L’Arbre Rouge, c’est la réalité que plusieurs de mes amis (dont Mitatouine que l’on voit à la fin) et moi même souhaitons créer, un lieu où vivre d’amour et d’eau fraiche ne serait plus une utopie, un lieu où comme tant d’autres nous proposerons autre chose que ce qui nous est imposé.  

Et parce que notre monde manque de gratitude, j’en profite également pour dire merci à toutes ces personnes chères à mon coeur qui m’ont accompagné cette année et qui m’ont conduit à aujourd’hui, qu’elles aient été de passage ou qu’il s’agisse d’amitiés de longue date. (Mélodie, Camille, Estelle, Sarah, Minou, Caro, Robin, Olga, Mathou, Maxou, JC, Jade, Arnaud, Vinouch, Claudia, Les copains d’Ardèche, d’Alosnys, de Brocéliande, de camion, du Grand Sud, même ceux du Ch’Nord Hain, etc etc …), Merci aussi à toi qui visite le blog et avec qui je peux partager mon amour du gribouillis. 

Et puis surtout merci à Edith et Seb d’illuminer mon quotidien. 





La vidéo est disponible sur youtube ici


 Je veux vivre de ce que je suis, pas de ce que je fais …

"Il y a un an, J’entamais la phase terminale, longue et douloureuse de ma première vie. 

Dans ma vie professionnelle, je redevenais stagiaire après 5 ans d’études et une période de deux ans de chômage, faute de trouver un « vrai » travail dans le milieu dans lequel je souhaitais m’épanouir. J’étais stagiaire, pour percer, me frayer un chemin dans ce milieu ingrat, pour arrêter d’être rémunérée aux quatre-quart et aux sourires. En parallèle je commençais à m’investir dans un projet qui touchait du bout du doigt ce que j’aspirais, mais qui ne correspondais pas à mes valeurs. C’était une manière pour moi de rentrer dans ce milieu que je convoitais tant.


Mais non, que ce soit au niveau du fond où de la forme, cela ne correspondait pas à ce que je souhaitais véhiculer quand j’ai entrepris mon activité professionnelle…  

J’ai toujours eu ce petit décalage dans mes ambitions professionnelles. Alors que d’autres visaient la carrière, la reconnaissance, la stabilité, moi, depuis toute petite j’aspirais à une vie de saltimbanque. Au primaire je voulais travailler dans un cirque, au collège je désirais devenir « tourneuse » pour des groupes de musique, au lycée j’envisageais la production de spectacles vivants, dans mes études supérieures, le cinéma et la télévision … 

Le point commun à toutes ses envies était la liberté que je m’en faisais. La liberté de découvrir, de créer, de s’exprimer, de voyager, de partager et j’en passe.  (personnage qui perse sa bulle tombe et s’envole) 

Lorsque je faisais mes études supérieures et qu’on me demandais en quoi consistait une licence de médiation culturelle, je m’amusais à répondre que «  La médiation culturelle c’est de l’art pour ceux qui n’ont pas les couilles d’en faire et qui se branlent dessus … ».

Je me rends compte aujourd’hui à quel point cette définition me correspondais parfaitement, car j’ai un énorme problème de légitimité quant à ma créativité. 
Parce que la société qui m’a éduqué n’a fait que de me répéter sans cesse que, pour vivre il faut un bon métier, que ce bon métier me permettrait de gagner de l’argent, que l’argent me permettrait de faire ce que je veux, qu’en faisant ce que je veux je pourrais vivre comme je le souhaite. 


Du coup je n’ai pas osé faire d’école d’art, car être artiste n’est pas une débouchée, ce n’est pas un vrai métier. Les artistes ne vivent pas de leur art sauf s’il sont très bons. 
J’ai ainsi mis ma créativité dans une petite boite. Une petite boite sous le lit que je ressors quand je suis fatiguée de la vie, quand je souhaite retrouver mes libertés. 

Finalement dans cette boite, je n’y ai pas mis que ma créativité. 

Je n’y suis mise toute entière ! 

Je m’y suis mise toute entière car mon moi véritable ne colle pas avec ce que la Société fait/veut de moi. Et puis elle me juge. Elle me juge car malgré tout mon moi véritable est toujours un peu là, qu’il lutte pour survivre, pour se faire entendre, pour sa légitimité à exister. Il cogne comme un forcené aux parois de son cercueil pour que je vienne le délivrer. Et moi je suis malheureuse de l’entendre s’époumoner, mais ai-je vraiment le choix ? 

Pendant longtemps j’ai cru que non. J’ai mis mes boules quies et j’ai poursuivis mon petit bonhomme de chemin. Mais les hurlements se faisaient de plus en plus forts, alors j’ouvrais cette petite boite. J’expliquais qu’il fallait prendre son mal en patience, que je travaillais pour qu’on puisse se retrouver. Que plus tard, quand nous serions vielles et que Société n’attendra plus rien de nous, on pourra vivre dans le bonheur, enfin … 

Pour Société j’ai perdu mon identité.
J’ai suivi son rythme effréné, son désir de toujours plus. J’ai travaillé pour de l’argent, j’ai contribué au travers de cet argent et de ma consommation à engraisser ceux qui font du mal au monde à travers les guerres, les déforestations, les maladies, l’extinction de la faune, de la flore, de la vie… 

Je me suis consumer, tiraillée entre ma « Nature sauvage » et ma « Nature civilisée » .

Il y a un an, J’entamais la phase terminale de ma première vie. 
Il y a un an, j’en voyais de mille douleurs.  
J’enchainais des évènements plus dures les uns que les autres, jusqu’au point de non retour. 
Jusqu’au point où je n’étais plus qu’une enveloppe vide, dénuée de sentiments, d’amour, de joie, d’avenir, de vie. 

Mais ce que je pensais être la fatalité n’était en fait que l’ultime signe que la vie m’envoyait pour me stopper face au mur dans lequel j’allais m’écraser.
Et c’est ainsi, assise au fond du puis dans lequel j’étais tombée, que j’ai pris ce temps de me poser la question « Qu’est ce que je veux faire de ma vie ? »  

Je veux être heureuse … C’est simple comme ça de se dire je veux du bonheur, juste du bonheur. Mais pourquoi ce Bonheur est-il si difficile à atteindre ? 
Génération Internet oblige, j’ai chercher la définition du bonheur. 

Bonheur : nom masculin, état de complète satisfaction. 

Étais-je satisfaite ? 

Non. Bien sûre que non. Mais pourquoi ? 

Parce que j’étais sous-pression. 
La pression de répondre à ce que la Société attend de moi. 
Mais moi ça ne m’intéresse pas de travailler pour d’autres, de gagner de l’argent, de dépenser, de consommer, de briller en société, d’avoir trouse milles activités et de courir de tous les côtés. 

Dans mon malheur j’ai eu de la chance. J’ai eu la chance de ne pas être capable de faire quoi que ce soit d’autre que de m’occuper de moi, de faire ma propre rencontre, de me reconstruire et de me sentir libre de mes choix. 

«  Le choix, c'est la création. Choisir, c'est créer. A travers mes choix, je crée ma réalité. » 
Tal Ben Shahar

J’ai pris mes clip et mes clopes et je suis partie. Je suis partie pour un temps indéterminé découvrir ce qui m’avait toujours attiré. J’ai enchainé les wwoofing et les chantiers participatifs pour apprendre et échanger. J’ai appris l’apiculture, la permaculture, le maraichage, l’éco-construction, les plantes médicinales, l’élevage, le shamanisme, la bienveillance, le lâcher prise, la joie, la douceur, la simplicité, l'oisiveté et tant d’autres choses. J’ai vécu de belles rencontres, de chouettes aventures humaines. J’en sors plus riche en une année que ce que j’aurais pu être en toute une vie de servitude. 
Et puis j’ai compris. 
J’ai compris que mes angoisses et ma souffrance était le signe que j’allais à l’encontre de ce que je suis. 
J’ai compris que je devais vivre dans la justesse de qui je suis, faire ce que j’aime et à mon rythme, dans la simplicité. 
J’ai compris que je devais cesser de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. 

Et du coup aujourd’hui je renais. 
Je renais car je ne veux plus vivre de ce que je fais mais de ce que je suis. 
Je ne suis pas plus productrice, que sophrologue, que shaman, qu’agricultrice, qu’animatrice, que photographe, que gribouilleuse, que bricoleuse, que réalisatrice, que dompteuse de punaises … 
Je suis ce qui me passionne, je suis toutes ces identités, je suis un tout, je suis mon monde, je suis un monde. 

Je suis ce projet qu'est l’Arbre Rouge. 
Je suis une terre, un souffle d’énergie, un lieu d’accueil pour ceux qui en ont besoin. Je suis un lieu qui s’inscrit dans la nature, qui évolue et s’épanoui avec elle. Je suis un endroit où le temps n’a plus d’importance. Je suis une terre où le jugement laisse place à la bienveillance, où la haine est remplacé par l’amour. Je suis ce que je veux de demain …

A travers ce que j’étais, j’ai appris que l’on pouvait passer sa vie entière comme un fantôme à imaginer, à fantasmer notre vie. J’ai appris que l’on était capable de choisir une voie par crainte. J’ai appris que l’on pouvait échouer à ce que l’on ne voulait pas faire. 
Alors pourquoi ne pas tenter sa chance avec ce que l’on aime faire ? 
Parce qu’après tout, le monde ne changera pas tant que nous ne changerons pas." 

dimanche 6 novembre 2016

Si je ne peux plus l'avaler c'est pour me la faire dorer ...


J'ai 11 ans quand je prends la pilule pour la première fois.

 Ce sont mes premières règles et je douille pas mal ! 

Je ne pensais pas que devenir une Femme pouvais être aussi douloureux, que ce phénomène que j'attendais avec tant d'impatience (ba oui ma copine Déborah elle, elle les avait déjà !) puisse me donner des envie de m'émanciper de mon corps plutôt que de continuer ainsi à m'accrocher à mon lit de douleur. 

Et puis surtout, il y a tout ce sang ... 
L'image du Nil dans l'Exode c'est de la gnognotte à côté de ce qui se passait dans ma culotte ! 
Je saignais tellement que j'étais obligé de changer tout le temps de serviette. En classe, certains de mes enseignants trouvaient que j'abusais de demander si souvent la permission d'aller aux toilettes, et parfois ne me le permettait pas. Du coup soit je sortais malgré la non autorisation (ce qui me valait généralement un petit tour chez monsieur le Directeur pour insubordination), soit je me retrouvais dans l'obligation de justifier devant tout mes camarades les raisons m'obligeant à prendre ce petit temps aux sanitaires ... 

Et puis à la maison, pour la nuit, ma Mère me recommandait grandement de porter ... 

... des couches ... 

Ba oui ca revenait cher en lessive de draps tout ca ! 
Mais les couches ! ... Y'a quand même quelque chose de pas mal humiliant en plus de ne pas être confortables ... 

J'en arrive à faire ma première visite chez la Gynécologue ...

Ca fout un peu les miquettes quand même une dame qui vient trifouiller à l'intérieur de ton intimité quand toi même t'as pas encore vraiment franchi ce cap de faire connaissance et tailler le bout de gras avec cette partie de ton corps ... C'est pas comme si elle était franchement facile d'accès quoi ! 

La Docteure m'explique tout bien comment ca marche, avec bienveillance et douceur, ma Mère approuve même pour que je regarde un peu comment se passe son examen à elle. 

Rien de si effrayant.
 Me voilà rassurée je n'ai plus qu'à poser les pieds dans les étriés. 

L'examen révèle que tout va bien ! Ba oui mais pourquoi j'ai aussi mal et que je saigne autant ? 
"Toutes les femmes réagissent différemment !" 

J'ai 11 ans, je n'ai connu que deux cycles menstruelles et c'est ainsi que ma gynécologue va me faire prendre la pilule pour la première fois. Pour plus trop avoir mal. Pour plus trop saigner. Pour avoir un cycle régulier.
Ma Mère elle, est comme moi, elle fait confiance car on y connait pas grand chose à tout ça. 

Les années passent et je continue de prendre ma dose d'hormones quotidienne que je n'utilise plus entant que "régulateur" mais entant que "contraceptif"
C'est quand même bien pratique mais j'aime aussi fumer et boire ... Je ne tape pas encore dans la micro hormonée mais c'est un entre deux ... Une pilule de 3e génération (Merci Bayer) ... 

J'ai ensuite eu mon petit déclic
J'avais envie de vivre plus naturellement, plus sainement. De me rapprocher de mon corps, de le sentir. J'ai appris le Yoga, la Méditation entre autres, afin de reconnecter ces deux parties de moi que sont mon esprit et mon corps. J'ai arrêté les produits médicamenteux au profit des plantes médicinales, de l'aromathérapie et de l'homéopathie. 
Mais la pilule quand même ... C'est pas si simple d'arrêter. Je n'aime pas les préservatifs, je ne veux pas avoir de corps étranger à l'intérieur de moi type stérilet et surtout, SURTOUT, je ne veux pas d'enfants, pas maintenant ...

Et il y a eu ce garçon ... Ce garçon avec lequel nous avions une chouette relation. C'est lui qui m'a fortement soutenu pour que j'arrête de prendre la pilule pour les raisons que j'expose à travers mon article. Quelle chance d'être tombée sur un garçon qui s'intéresse et se sente impliquer dans des interrogations où d'autres ne se sentiraient pas concernés. Alors bon, je me suis renseignée sur les différentes méthodes de contraceptions naturelles, j'en ai parlé avec ma généraliste, ma (nouvelle) gynécologue, ma mère, mes ami(e)s. Et puis c'est une de mes copines qui m'a parlé de l'application "Journal des règles lite"
Du coup ca devenait simple et pratique ! 
Et puis avec ce garçon je n'avais également plus peur de tomber enceinte ... Ca facilite aussi un peu le pas ...

J'ai pris la pilule jusqu'à mes 26 ans. 
J'ai pris la pilule durant 15 ans
Je n'avais jusqu'alors jamais connu de cycle naturel. 
Je n'avais jusqu'alors connu aucune sexualité naturel. 

Mon corps s'est réveillé au fur et à mesure. 
Je l'ai redécouverts.
J'ai redécouverts mon cycle, ma féminité. 
J'ai redécouverts ma sexualité. 

Le garçon m'a laissé tomber et s'est barré ... 
Mais depuis je n'ai jamais repris la pilule ... 

Bien entendu avec les compagnons d'un soir ou les relations légères, il ne s'agissait pas tant de se protéger d'un enfant que de maladies vénériennes. J'utilisais donc pendant ma courte durée de célibat le très classique et traditionnel préservatif. 
Avec mon nouvel amoureux, quand nous avons décidé d'arrêter le préservatif, nous avons fait les examens nécessaires et avons continué ce système qui me correspond et ne m'a jamais fait défaut. 
De par son histoire et ses peurs, ça n'a pas été tout de suite évident pour lui de n'avoir aucune protection concrète. Puis il s'est habitué, suit maintenant mes cycles, s'intéresse à celui-ci et son fonctionnement, se sent impliqué etc. 
Ce qui ne l'empêche pas de me glisser de temps en temps à l'oreille : "Ma chérie c'est un jour safe ou pas safe ?" 
Et en fonction nous "adaptons" nos rapports, sans privation ni abstinence.  

Il va de soit que cette article ne remet pas en question l'importance de la pilule contraceptive dans notre société.

Il ne s'agit pas d'un article incitant à ne pas prendre les mesures nécessaires de protections contre les Maladies Sexuellement Transmissibles et se base sur les expériences d'une relation consentante, responsable et de confiance. 

Il ne s'agit pas d'un article réac visant à dire que "la femme est faite pour enfanter, c'est ainsi que Dieu le Père, Allah, Jehovah ecaetera le décida !" 

Il s'agit là de partager mes recherches, mon expérience et les solutions qui me correspondent. 

La Femme, comme tout individu, a la liberté de son corps et de ses choix. 












vendredi 30 septembre 2016

Simples et ... Sauvages


Je continue de poursuivre mon incroyable aventure dans le "Vivre autrement" à travers le Wwoofing et, cet été je me suis installée dans la magnifique Ardèche afin de découvrir les propriétés et vertus des Plantes grâce à l'association "SIMPLES ET SAUVAGES". 

L'objectif de l'Association est de contribuer à prendre soin du vivant sous toutes ses formes dans le respect de la Terre et des Hommes, à travers le partage, la diffusion et la valorisation des savoirs ancestraux dans l'usage des plantes médicinales et aromatiques, favorisant le développement personnel et l'autonomie. 

Un incroyable moment passé auprès d'Aurore, Cecile, Jaqueline et ma douce Claudia (et bien d'autres aussi !), de merveilleuses femmes qui ont partagé avec moi leurs savoirs et leurs connaissances des plantes et comment les transformer pour profiter de toutes leurs qualités. 






samedi 7 mai 2016

"HAPPY-Culture" : La Propolis

Comme le sont les plus avertis, je vis en ce moment une grande aventure à travers le wwoofing et les Chantiers Participatifs. 

C'est à dire que je vais à la rencontre de personnes qui travaillent et vivent avec la nature dans le plus grand respect. 

En soit, je découvre et apprends plein de techniques et de savoirs-faire que ce soit sur le maraichage, l'éco-construction, l'élevage, la cueillette, l'autonomie, les "sociétés alternatives", le vivre autrement tout simplement. 
Et c'est formidable ! 

Et comme là je pars de nouveau, direction Genève cette fois, construire une cabane dans les arbres et m'occuper d'Abeilles, je voulais partager avec toi ma première expérience en Apiculture, que j'ai vécu dans les terres Bretonnes. 

Quand j'ai fait mes premiers pas en combinaison de spationaute pour aller récolter de la Propolis...










Alors voilà, le but de mon expérience est également de la partager avec ceux qui en ont envie. C'est pourquoi je tiens un journal de toutes mes rencontres et expériences que je raconte avec mes gribouillis. Je ne trouve pas forcément le temps de les mettre au propre parce qu'il y a TELLEMENT de découvertes incroyables et finalement peu de temps pour tout poser sur papier, que du coup, je ne peu pas publier tout tout de suite ... 
En tout cas la prochaine fois tu pourras peut être découvrir comment danser la Guilde bretonne dans un tas de fumier, travailler en liberté avec des chevaux, traire une biquette, ramasser des raidis, travailler une terre en permaculture et y planter des trucs, construire une charpente (et une petite cuillère), construire un phytoplanté, reconnaitre les nuages, les arbres, parler avec les cailloux et encore plein d'autres choses !   

mercredi 27 avril 2016

Le Wwoofing une incroyable aventure


Mon petit chat, ca fait un loooooong moment que je n'ai pas publié un gribouillis, mais c'est qu'en ce moment je vis une grande aventure. 

En fait depuis plusieurs mois, je suis devenue "wwoofeuse" et je me balade en France allant dans des fermes apprendre le métier de maraicher, le travail avec les animaux, l'éco-construction, les énergies alternatives et tant d'autres choses merveilleuses mêlant bienveillance, partage, rencontres, échanges de savoirs... Je me rapproche de la nature pour réapprendre à vivre avec et à nous épanouir ensemble sur la voie de l'autonomie et de la résilience. 

Alors bon, même si je ne publie plus, je gribouille chaque jour racontant mes expériences, mes découvertes et toutes ses jolies choses que je vis en ce moment pour un jour les partager avec toi et les autres aussi ! 

Alors à très vite. émoticône heart